Retrouver son instinct de cueilleur
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La nature nous offre des merveilles!

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Image du titre par S. Hermann & F. Richter de Pixabay

Pourtant les mûres ne se laissent pas attraper aussi facilement.

Les ronces auraient pu me dissuader mais je suis bien équipée. Un escabeau, un crochet bricolé sur un tasseau de bois pour rapprocher les branches hautes, un gant pour que ma main gauche puisse les saisir , un panier bien adapté…

Et voila 700g de ces merveilles mûries à point au soleil.

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Ce serait dommage de perdre vitamines et probiotiques. Je mixe les mûres très grossièrement, sans chercher à briser les petits pépins.Aucun besoin d’ajouter de sucre. Évidemment, il faut conserver et consommer les pépins , qui sont la principale source de bienfaits de la plante.

Pour la conservation, je préfère la congélation . J’utilise des moules à muffins en silicone pour avoir des doses faciles à décongeler au fur et à mesure des besoins.

La mûre sauvage est très riche en antioxydants.

Protectrice du système cardio-vasculaire, elle joue vraisemblablement un rôle anti-cancéreux. Elle est aussi diurétique.

Son action cible à la fois les voies urinaires et les reins.Sans oublier que la mûre sauvage combat la constipation et aide à la digestion.La ronce soulage également les irritations de la gorge et de la bouche. Tout comme elle calme l’eczéma, les plaies et les brûlures.

D’ailleurs, pour soigner une gingivite ou une angine, faire des bains de bouche avec une décoction de feuilles de ronce à raison d’une grosse poignée pour un litre d’eau.

Principalement des flavonoïdes, molécules faisant partie des polyphénols, aux vertus antioxydantes.

Mais aussi des vitamines, la vitamine C (en grande quantité) et les vitamines K et E.

Sans oublier des fibres, du potassium (énormément), du magnésium, du calcium, des glucides et beaucoup d’eau (88%)