Dans les pathologies d’élimination, c’est la balance entre l’entrée et la sortie des polluants qui commande l’évolution de la maladie. La réduction de l’entrée des polluants favorise le processus d’élimination par le corps. Pendant toute cette phase d’élimination, les symptômes s’aggravent, puis se calment avec des soubresauts, pour aboutir à une rémission plus ou moins complète. Lorsque l’on est confronté soudainement à une maladie d’élimination, si l’on ne change rien dans son alimentation, alors l’entrée des déchets est trop massive par rapport à la capacité des émonctoires naturels ; la maladie s’installe, devient plus ou moins chronique voire permanente.

Changer son alimentation est une nécessité en cas de maladie d’encrassage ou dégénérative. Cela passera par l’élimination (ou forte diminution) des céréales, ainsi que des produits animaux, l’apport massif d’aliments crus, smoothies, jus frais maison, privilégier les huiles biologiques riches en oméga 3, la graisse de coco…

On peut aussi recommander l’ajout de compléments alimentaires, magnésium, oligo-éléments, vitamines et ferments lactiques.

Ainsi que l’ajout de certains probiotiques, tel que le kéfir de fruit ou le kéfir d’eau (tibico, de Mère Térésa), légumes fermentés, miso, kombucha, certains yaourts de qualité maximale, pourront agir dans les intestins en symbioses avec les fibres prébiotiques (oignon, ail, blé, banane, topinambour, avoine, orge, la plupart des légumineuses)

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